
Les modèles les plus simples sont constitués de plusieurs couches de tissus plus ou moins fines et souvent en coton. On pourrait croire qu'un masque médical fonctionne comme une sorte de tamis qui arrêterait les particules trop grosses pour passer à travers ses trous. Mais pour obtenir un tel effet, le tissage devrait être très serré et ne permettrait pas une respiration normale.
Ce n'est donc pas la finesse de la trame de tissage qui assure la filtration. L'interception par le masque des poussières fines, des virus, des aérosols… est le résultat de l'adhésion des particules aux microfibres du masque.
Divers phénomènes électrostatiques, dus à la présence de charges électriques sur les très petites particules, les collent aux fibres. Les plus petites de ces particules (inférieures à 0,1 micron), comme les virus, n'ont même pas besoin de toucher une fibre, elles sont piégées par la force d'attraction intermoléculaire, appelée force de Van der Waals, à la surface des fibres.
SOURCE : ça m'intéresse n°472

A ce jour (juillet 2020) le virus circule toujours.
Alors continuez à porter le masque et respectez les consignes de distanciation sociale.
Ces petits gestes prouvent que vous respectez l'autre et que vous vous respectez également.
J'applique les consignes officielles qui peuvent évoluer au fil des semaines et porte donc le masque lors de l'analyse géobiologique de votre habitat.
Lors des visites guidées, si les conditions le permettent (respect des distances, lieu non couvert), je propose de retirer le masque.