Nous sommes connectés à la terre, tout particulièrement à l'endroit où nous vivons.
Sous nos pieds, des failles géologiques, des veines d'eau souterraines, ou bien encore des réseaux cosmo-telluriques.
J'évoquerai ci-après les deux réseaux les plus connus : réseau Harmann et réseau Curry.

Les réseaux cosmo-telluriques, mentionnés dès le XVII° siècle, se présentent comme un maillage invisible recouvrant la Terre, qui se resserre près des pôles et s'élargit à l'approche de l'équateur.
Ils ne sont pas composés de matière palpable, mais énergétique nécessaires à la vie sur terre, ils constituent une interface entre les "forces d'en bas", telluriques, et les "forces d'en haut", cosmiques.
La largeur des maillages varie en fonction des réseaux identifiés, et peut être également en fonction des phases lunaires, de la pression atmosphérique, et des tremblements de terre.

Leur origine reste mystérieuse : ils seraient l'émanation vibratoire des métaux présents dans le noyau terrestre, principalement du nickel et du fer. Le noyau de la terre est également appelé NIFE en français : nickel "NI" et fer "FE".
Par ailleurs, ces murs d'énergie prennent racine profondément dans la terre et s'élèvent à la verticale, traversant tous les obstacles.
Les deux principaux réseaux pris en compte sont Hartmann et Curry.
Le Dr Ernst Hartmann, père du « réseau global » a établi que sous nos latitudes, ces mailles se croisent tous les deux mètres dans le sens nord-sud, et tous les 2,50 m dans le sens est-ouest.
Ces réseaux sont capables de conduire la nocivité d'autres sources d'énergies négatives, comme le circuit électrique de votre maison, ou une faille... Mais pour qui sait les manier, les réseaux peuvent être d'une grande utilité. Les bâtisseurs d'églises catholiques du XX° - XIII° siècle savaient utiliser toutes les formes d'énergies, qu'elle soit d'ordre tellurique ou cosmique, les Égyptiens aussi savaient manier les lignes de vie de notre planète.
Il semble que ce réseau était déjà connu en Grèce antique, chez les Étrusques, les Celtes, les Gaulois et les Romains.

Le Dr Ernst Hartmann (1915-1992) est considéré comme le père de la géobiologie moderne.
Lors de ses années de pratique en tant que médecin, il constate un taux de mortalité supérieur chez des patients installés dans certains lits, et que cela se répète sur plusieurs étages, au même emplacement. Dès 1948, avec son frère ingénieur électronicien, il décide de se consacrer de façon intensive à des recherches en radiesthésie et géobiologie. Il réalise alors de nombreuses études avec l'objectif d'analyser l'influence du lieu de vie au niveau biologique, notamment à l'aide de tests biophysiques.
Il découvre que selon l'endroit où se trouve le « cobaye », son organisme réagit différemment, et met en évidence une baisse de la qualité magnétique du sang en zone perturbée ainsi qu'un changement de vitesse de sédimentation.
« Toute maladie est souvent un problème de lieu de vie », défendit-il toute son existence.

Le docteur en médecine allemand Manfred Curry (1899 - 1953) a découvert le le réseau Curry, appelé également réseau diagonal.
Il consiste en un maillage orienté en diagonale, à 45 degrés par rapport au réseau Hartmann, et de 4 à 8 mètres de large.
Si le réseau Harmann est la "signature" du nickel, le réseau Curry est celui du fer.
Ci-dessous le maillage de gauche à droite Curry et le maillage Hartmann.
Généralités sur les courants telluriques.
Dans le centre de la terre, le NIFE, comme le tout est chauffé, selon la constante de Max Planck (théorie qui relie l’énergie d’un photon à sa fréquence), on récupère un spectre bien particulier. Ceci permet de faire le lien entre ces réseaux et les métaux, en retrouvant le spectre du métal. Tout corps, tout métal chauffé dégage une vibration, cette vibration serait le support du réseau Hartmann.
A mon avis ces réseaux véhiculent bien d’autres informations, à l'image d'un fil électrique véhiculant un courant et peut être un support de CPL (courant porteur en ligne) et donc capable de "transporter" le Wifi par exemple.
Leur détection
Je préfère la baguette de coudrier ou bien encore les baguettes coudées au pendule, qui est, à mon avis, trop sensible lors des déplacements pour se trouver à la verticale du réseau recherché.
Ma convention pour une réponse idéo-motrice correcte : l'extrémité de ma chaussure se trouve au début de la verticale du réseau recherché. Ceci en me déplaçant bien sûr selon un axe N-S (ou E-O) pour Hartmann et NE-SO (ou NO-SE) pour Curry.
Les réseaux sont considérés, en général, comme de l'énergie négative.
Si on devait donner une valeur de nocivité à une bande d'un des réseaux, disons 10pts par exemple, il apparaît évident que la nocivité sur un croisement est de 20pts. Leur nocivité est donc maximale sur leurs nœuds. Il ne faut cependant pas négliger les bandes.
Méfiez-vous, il existe des points qui sont le regroupement de plusieurs nœuds, ces super- nœuds sont de vrais nids à cancer !!.
Le réseau double :
Ce réseau est en fait une particularité du réseau Hartmann. À des intervalles de 10m apparaissent des bandes plus larges appelées Réseau double constitué de 2 bandes du réseau Hartmann. C'est un réseau tellurique.
Autres réseaux :
Réseau Peyré (cuivre) Découvert par le docteur Peyré de Bagnoles-del’Orne en 1937. Les cloisons Nord-Sud représentent 4 cloisons Hartmann Les cloisons Est-Ouest représentent 3 cloisons Hartmann
Réseau Wissmann (aluminium). Longueur de la trame N.E-S.O : 8,50 à 11,50 m. Longueur de la trame N.O-S.E : 8,50 à 11,50 m. Largeur minimum des bandes : 50 cm. Le point de croisement de ce réseau constitue le point foudre. La nocivité des points de croisement de ce réseau tellurique est accentuée quand ils sont à la perpendiculaire d’un cours d’eau.
Pour information le réseau or possède un maillage N-S de 350 x 400 km et une épaisseur de 77 cm.
Tous les métaux possèdent leur réseau dirigé N-S ou bien NO-SE pour l'argent, par exemple

Les courants telluriques :
il existe de vastes courants, des courants telluriques, qui traversent notre globe, à la différence des réseaux Hartmann ou Curry, on ne peut pas les représenter comme des filets, ils ne sont absolument pas réguliers dans leurs répartitions. Ces réseaux jouent un rôle dans l'emplacement de certains lieux de cultes (anciens ou modernes).
Ces réseaux semblent coller aux grandes migrations humaines de l'Histoire.
Ils ont une influence sur les phénomènes météorologiques et sismiques. Ces courants, contrairement aux autres, sont considérés comme positifs, car ils peuvent recharger les gens.
À titre de rappel, il n'existe pas de bons ou de mauvais réseaux, tout dépend de l'endroit où il se trouve et de la façon dont on l'utilise.
SOURCES :
magazine Inexploré n° 50 - avril, mai, juin 2021
Initiation aux réseaux telluriques, R&C BOUCHET - Ed Guy Trédaniel
L'architecture invisible Georges PRATT
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ces mystérieux réseaux telluriques qui affectent notre santé